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Les vaccins Covid-19

 

Tous les jours, plusieurs patients me demandent si je "suis pour ou contre le vaccin contre le Covid"?

La question n'est pas appropriée, pour deux raisons principales:

1. En matière de Covid, il n'y a pas un vaccin, mais des vaccins.

2. La question n'est pas de savoir si je suis pour ou contre, mais bien, comme pour toute intervention médicale, de savoir, au cas par cas, si le bénéfice en vaut le risque potentiel. Cela peut être le cas pour un patient et pas pour un autre. On ne peut donc pas être dans des généralités.

Pour pouvoir faire une analyse bénéfice/risque, il faut donc savoir si:

1. le vaccin est efficace

2. le vaccin est sûr.

Si l'on en croit le narratif de notre gouvernement repris dans les médias, le vaccin est efficace à 95% et est sûr.

Vous allez voir que les choses sont beaucoup plus complexes.

Les considérations suivantes sont pour le vaccin de Pfizer.

Contexte

Fin novembre 2020, la TSR a dédié une émission sur le vaccin. Plusieurs grands pontes de la vaccination Suisse y participaient. Ils étaient tous dans la retenue, expliquant que les seules données disponibles étaient les communiqués de presse de Pfizer. Ils ont notamment  déclaré être très critiques des pays qui donnaient des autorisations de mise de marché sur la base de données scientifiques partielles et que Swissmedic attendrait l'étude complète, qui ne serait pas disponible avant 3 à 6 mois.

Etrangement, à peine trois semaines plus tard, Swissmedic délivre une autorisation limitée pour cas d'urgence.

Depuis, une étude scientifique incomplète a été publiée, mais le narratif ne pose plus aucune question: le vaccin est efficace et sûr. Du jour au lendemain, sans vraiment beaucoup plus de données disponibles, disparue la retenue de nos experts. Le gouvernement le répète, les médias le martèlent: le vaccin est sûr et efficace.

Malheureusement, on ne peut pas spontanément faire confiance aux laboratoires pharmaceutiques et aux gouvernements qui sont souvent influencés. Par exemple, par le passé, Pfizer a été condamné à 2,3 milliards de dollars pour fraude scientifique et, suite à la pandémie H1N1, des enquêtes parlementaires ont dénoncés les influences des laboratoires sur les gouvernements.

Et personne ne semble avoir lu avec attention l'étude publiée et la critique de scientifiques de renom, comme le Dr Dosi, éditeur associé de la prestigieuse revue scientifique "British Medical Journal".

C'est d'autant plus inquiétant que nous n'avons que quelques mois de recul, pour un vaccin qui utilise une nouvelle technologie génique (ARN messager)

 

Le vaccin est-il réellement efficace à 95%

C'est ce que disaient les communiqués de presse de Pfizer et ce que laisse suggérer l'étude publiée dans le New England Journal of Medicine.

Mais cette efficacité est gonflée artificiellement par les méthodes statistiques utilisées.

Une analyse par le Dr Doshi, basée sur l'étude publié et sur les données envoyées à la FDA, place l'efficacité à 29%!

Si vous désirez transmettre un document à votre médecin, l'analyse du Dr Doshi est un document pertinent.

A l'heure actuelle, personne n'a eu accès aux données brutes.

Voilà ce que l'on sait avec plus ou moins de certitudes:

  • Chez les moins de 65 ans, il y a une forte probabilité que l'efficacité ne soit pas de 95%, ce chiffre étant gonflés par des méthodes statistiques douteuses et ne prenant en compte qu'un groupe spécifique de patient, et pas les données complètes envoyées à la FDA.
  • L'efficacité chez les plus de 65 ans est inconnue

Le vaccin est-il réellement sûr?

  • Il est impossible de savoir s'il est sûr sur le long-terme puisque le recul est de quelques mois seulement, avec une nouvelle technologie génique jamais utilisée auparavant.
  • Les données transmises par Pfizer au gouvernement américain montre que près de 2.9% des vaccinés ont des effets secondaires suffisamment handicapants pour ne plus pouvoir travailler le ou les jours suivants
  • Les coronavirus peuvent causer des anticorps facilitant qui risquent d'augmenter le risque de forme grave. Ce risque doit faire l'objet d'une information spécifique aux vaccinés (dans les faits, elle ne se fait pas).
  • La sécurité chez les plus de 65 ans est inconnue, le groupe évalué à cette fin comportait moins de 40 personnes.
  • Bien que les statististiques ne soient pas suffisamment solides pour tirer une conclusion, dans l'étude Pfizer publiée, chez les vaccinés, 8 personnes ont attrapé le virus, et une personne a fait une forme grave. Donc, chez les vaccinés, 12% de ceux qui ont attrapé le virus ont fait une forme grave. Chez les non-vaccinés, 162 personnes ont attrapés le virus (sur 22'000 personnes), et 4 ont fait une forme grave. Le taux de forme grave chez les non-vaccinés est donc de 2.46%. Cela pourrait suggérer que les personnes vaccinées ont 5 fois plus de risque de faire des formes graves.
  • Plusieurs experts se sont déjà prononcés sur le risque possible que la vaccination pourrait favoriser des formes d'hyper-réactivité immunitaire. C'est le cas de la Dr Cahill et de la Dr Alexia Henrion Caude, anciene chercheuse à l'INSERM (voir ci-après)
  • Un médecin fait même l'hypothèse que l'explosion de cas en Israel et Angleterre pourrait être liée à ces mécanismes.
  • Plusieurs décès sont intervenus après la vaccination, notamment chez des personnes de plus de 75 ans. Dans tous les cas, les autorités sanitaires nous assurent qu'il n'y a aucun lien de causalité avec le vaccin et que les personnes étaient fragiles et souffraient de comorbidités. C'est intéressant, parce que, en matière de statistiques Covid, lorsqu'une personne fragile est positive au virus et qu'elle meure, elle vient s'ajouter aux statistiques des victimes du virus. Donc virus naturel = cause de la mortalité alors que vaccin ("virus artificiel) = pas de lien de causalité.
  • Pire encore, un rapport provenant d'Israël suggère que la vaccination de masse pourrait entraîner une pression évolutive sur le virus et favoriser le développement de mutation

Effets secondaires connus:

En fonction du type de vaccin, de l'âge et de la dose, entre 80-89% des personnes ressentent un symptôme local et 55 à 83% font l'expérience d'un symptôme systémique.

La plupart des symptômes systémiques sont légers à modérés, arrivent dans les 3 premiers jours et s'estompent en 1 à 3 jours. Ces symptômes sont plus fréquents après la deuxième dose et et chez les personnes plus jeunes

Source: Center for Disease Control

 

Rendez-vous en fin de page pour des informations de mises à jour sur la sûreté du vaccin

 

Conclusion

Dans la majorité des pays, les vaccins Pfizer et Moderna n'ont pas reçu d'autorisation normale de mise sur le marché. Ils ont reçu une autorisation spéciale pour cas d'urgence.

La fin de l'étude de Pfizer est prévue pour 2023.

Si vous décidez de vous faire vacciner, sachez que vous êtes donc le sujet d'une vaste expérience clinique utilisant une nouvelle technologie génique (ARN messager) qui n'a que quelques mois de recul.

Si vous décidez de vous faire vacciner, demandez à votre médecin ou au centre de vacinnation de vous expliquer clairement la marche à suivre si vous avez des effets indésirables et demandez-leur de vous préciser qui prendra la responsabilité.

Bien qu'aucune étude n'existe sur le SARS-Cov-2, une étude sur la grippe montre que les personnes vaccinées expirent 6 fois plus de particules de virus que les personnes non-vaccinées. Il y a donc une possibilité que vous ne protégiez pas les autres, voir que vous les mettez plus à risque de transmission.

Marche à suivre pour ceux qui choisissent de se faire vacciner

1. Demandez à connaître le type de vaccination que vous allez recevoir

A la date du 15 février, seul les vaccins de Moderna et Pfizer sont disponibles, l'autorisation pour le vaccin d'Astra-Zeneca ayant été repoussée pour cause de données insuffisantes.

2. Définissez votre risque personnel

L'âge et les comorbidités sont à prendre en compte dans votre pesée bénéfique risque.

Vous pouvez utilisez cet outil d'évaluation pour avoir une première idée du risque en fonction de votre âge.

Gardez à l'esprit que cet outil se base sur les données publiées par Pfizer dans le New England Journal of Medicine, avec les limites décrites ci-dessus. L'efficacité est très certainement sur-estimée.

3. Discutez du risque avec votre médecin

Discutez ensuite de votre risque personnel avec votre médecin traitant.

4. Contra-indications

Les personnes qui ont des antécédents de réactions allergiques sévères ou de choc anaphylactiques ne devraient pas être vaccinés.

En raison du manque de données sur l'efficacité et le risque d'administration des vaccins Covid-19 mARN en simultané avec d'autres vaccins, le vaccin Covid-19 doit être administré seul à au moins 14 jours des autres vaccins.

Il n'existe pas de données de sécurité et d'efficacité chez les femmes enceintes et qui allaitent.

5. Demandez à pouvoir signé un document de consentement éclairé

6. Demandez à recevoir des instructions concernant la marche à suivre en cas d'effets secondaires.

7. Demandez où vous pouvez rapporté tout effet secondaire ou quel processus votre médecin suit pour rapporter les effets secondaires.

 

Suivi actualisé des effets secondaires

Les données présentées ici proviennent du Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américain, données récoltées au travers de leur système "Vaccine Adverse Event Reporting System" (VAERS).

Le VAERS est un système de collecte de donnée passif et volontaire. Plusieurs études suggèrent que seul environ 1% des cas sont reportés.

Je me suis permis de mettre entre parenthèse le pourcentage estimé de réaction sur la base de ce 1% (c'est à dire si 100% étaient reportés).

Période de collecte: 14.12.2020 au 04.02.2021

Nombre de personnes vaccinées: 44.77 millions

Nombres de cas d'effets secondaires reportés: 12'697

Pourcentage: 0.028%

Pourcentage corrigé: 2.8%

Nombre hospitalisation: 1382

Nombre de décès: 653

Source

Considération finale

Selon certains auteurs, la vaccination Covid-19  a des conséquences qui vont au-delà du domaine sanitaire, notamment en matière de développement d'identité numérique. Lisez le bulletin de ce chercheur du CNRS.

Pour en savoir plus

Deux articles de l'anthropologue de la santé genevois Jean- Dominique Michel:

Article 1

Article 2

 

Interview de Dr Alexia Henrion Caude